Les Frontières liquides

Jérôme Nédélec

L’Armée des Veilleurs – Tome 1

À la toute fin du IXe siècle, Vikings et Bretons se font face de part et d’autre du fleuve.

Deux peuples, deux armées, deux soldats, deux hommes, prêts à s’affronter dans un déferlement de métal et de feu. Mais pour quoi au juste ? Pour un surcroît de richesses ? La possession d’un territoire ? La fidélité à un chef ? Ou parce qu’il n’y a pas d’autre choix ?

Alors que les armes s’aiguisent, que les stratégies s’élaborent, que les peurs s’exacerbent, l’esprit d’une petite fille dotée de pouvoirs mystérieux vole au-dessus du champ de bataille et s’insinue dans l’âme des belligérants, tentant de dessiner un destin différent de celui qu’espèrent les guerriers.

Ce formidable roman historique, teinté de fantastique, met en scène de façon magistrale le combat mené par les Bretons pour défendre leurs terres contre les Vikings. Une histoire à couper le souffle, au cœur du haut Moyen Âge.

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LES BLOGUEURS EN PARLENT :

«C’est avant tout une aventure très humaine où chaque protagoniste doit trouver sa place dans des évènements qu’il ne contrôle pas, le tout dans une fresque historique de grande qualité.»
Évasion imaginaire

«Le premier tome d’une trilogie prometteuse qui mérite d’être suivie avec attention. Je vous le recommande
Ombres Bones – Chroniques de l’imaginaire

«Un roman qui vaut le détour. »
Au pays des Cave Trolls

«Un roman solide qui séduit non seulement par la qualité de sa reconstitution historique mais aussi par celle de ses personnages
Le Bibliocosme

«Un premier roman très prometteur, fondant histoire médiévale et fantasy
Albédo – Univers imaginaires

 

  • Stéphane Batigne éditeur / Tri Nox, 2017
  • 476 pages
  • 14,8 x 21 cm
  • ISBN : 978-2-490808-02-1

Extrait

Les bruits de la nuit nous arrivaient assourdis par l’atmosphère feutrée qui nous enveloppait. La nature s’était figée en un statu quo gigantesque, laissant à chacun l’illusion qu’il verrait la nuit à nouveau tomber. Pourtant, dès que les premiers rayons du soleil s’élèveraient sur les marais, la mort s’abattrait sur les hommes. Avec le jour viendrait la fin, d’une façon ou d’une autre.
[...]
Soudain, j’entendis un appel déchirer les ténèbres agonisantes. Ce n’était qu’un mot, le même, répété et répété encore, un des rares que je connaissais dans la langue des Bretons, un mot dont j’aurais pu être fier mais qui en cet instant me glaçait le sang, un mot qui allait changer le cours des choses, un mot qui allait résonner longtemps dans ma tête : « Morlaerien ! »

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